Reprise exceptionnelle de la pièce de Laurence Masliah « J’ai de la chance » au LUCERNAIRE Du 26 mai au 13 juin à 18h30Relâche le 29 mai

Autrice : Laurence Masliah ​ ​ Mise en scène : Patrick Haggiag ​ ​ Avec : Laurence Masliah ​ ​ Durée : 1h10

Natasha – sorte de double de Laurence Masliah- fait revivre « Mamicou », sa mamie qui coud tout le temps en récitant des alexandrins. Elle nous raconte les méandres de la mémoire qui joue des mauvais tours, nous transmet par bribes pudiques et souvent drôles, le cataclysme de la ​grande Histoire et la période vécue par cette grand-mère pendant la guerre à Moissac, où 500 enfants ont été sauvés. ​

​Dans « J’ai de la chance », l’auteure met en mots et sur scène, sa soif de transmission intergénérationnelle et restitue de manière sensible des souvenirs universels.

La presse en parle:

« On est sous le charme. Beaucoup d’humour, de tendresse, d’émotion dans ce moment de vrai théâtre. » Le Figaro – Armelle Héliot

« Le spectacle de Laurence Masliah est un petit bijou d’émotion et d’intelligence. Un portrait de femme comme on aime se le faire conter au théâtre. (…) Mise en scène avec adresse par Patrick Haggiag, Laurence Masliah est d’une justesse sans faille. Avec tendresse, elle nous fait rire, pleurer et réfléchir. On en redemande. » Pariscope-Dimitri Denorme

« Le portrait d’une femme magnifique qui a été sauvée pendant la guerre… Une histoire merveilleuse, admirablement jouée par Laurence Masliah. » Coup de coeur – Le Masque et la plume, France Inter

« Laurence Masliah, qui a écrit le texte à partir de documents familiaux et de souvenirs et l’a mis en forme avec Marina Tomé (un très beau tissage bousculant sans cesse la chronologie), interprète d’une manière infiniment sensible ce destin, cet amour réciproque qui sont ses racines et sa propre chair. Ce moment bouleversant et sans pathos, qui s’affranchit des formes
conventionnelles de l’hommage et n’exclut pas une gaîté traversée de tendresse, est un portrait parfait ou une discrète machine de guerre contre l’oubli de choses très graves. Comme l’on voudra. » Webthea-Gilles Costaz
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« La pièce ne s’attarde pas sur les douleurs, elle les effleure, procède, comme le jeu, par petites touches légères et vives. La mise en scène achève de composer un puzzle vivant et pudique, le portrait d’une femme et, à travers elle, de beaucoup d’autres. Le texte rend hommage à tous ces héros ordinaires et aux justes de Moissac et d’ailleurs. » Le Jdd.fr – Annie Chénieux

extrait video

https://vimeo.com/82041103

Infos pratiques

Bénéficiez de places à 10€
les​​ 26, 27, 28 et 30 mai

Réservations au 01 42 22 66 87