Le FSJU s’inscrit dans la Semaine bleue

Pour la 2ème année consécutive, Le FSJU s’inscrit dans la Semaine bleue, semaine nationale coordonnée par l’UNIOPSS et dédiée aux personnes retraitées et âgées, ainsi qu’aux liens intergénérationnels.

Différentes initiatives se dérouleront au plan national du 6 au 12 octobre 2025,  le thème de  cette année « Vieillir une force à partager ».

En raison des fêtes de Tichri, le FSJU convie les séniors à participer à un après-midi solidaire le Mardi 21/10/25 de 13h45 à 17h

Cet événement se déroulera à l’Espace Rachi au 39 rue Broca 75005 Paris.

Au programme : atelier, goûter convivial et rencontres entre générations.

  • Prévention des chutes
  • Expression corporelle
  • Echange intergénérationnel
  • Chorale

Vous pouvez dès à présent vous inscrire à l’un des ateliers proposés, auprès de Laetitia Hayoun au 06 80 50 69 88 ou à partage@fsju.org 

PAF : 5 euros

Pascal Monteil au mahJ

Exposition du 2 juillet 2025  au 4 janvier 2026 au mahJ

Pascal Monteil est un conteur qui s’exprime par la broderie.

Pour sa première exposition à Paris, le mahJ présente six de ses broderies les plus importantes au sein du parcours des collections.

Dans Llanto por la Monja Gitana (Lamentation pour la nonne gitane), l’artiste a brodé une longue procession d’exilés sur une toile de plus de trois mètres, où il évoque notamment l’expulsion des juifs d’Espagne en y intégrant des figures de son panthéon personnel comme Federico García Lorca ou Marceline Loridan-Ivens.

Les origines marranes de Pascal Monteil ne sont sans doute pas étrangères au choix de cette fresque épique, où un rabbin portant la Torah occupe la tête du cortège.

Né entre Uzès et Anduze, Pascal Monteil vit et travaille aujourd’hui à Arles. Il est le lauréat 2022 du prix Maratier créé par Claire Maratier pour récompenser un artiste vivant et décerné par la fondation Pro mahJ.

Billetterie

On ne jouait pas à la pétanque dans le ghetto de Varsovie

REPRISE

Au théâtre du Petit Martin  – Salle Roland Topor

du 6 septembre au 26 octobre 

Convoquer l’humour pour aborder sur scène la mémoire funeste de la Shoah. C’est ce qu’entreprend l’artiste Éric Feldman dans ce que l’on pourrait qualifier de stand-up théâtral d’art et essai !

Mi-conférence, mi-confidence, cette autofiction jubilatoire nous entraîne dans une spirale de facéties, de pensées et d’émotions pures. Il faut dire que le comédien sait de quoi il parle quand il énonce les traumatismes de l’Holocauste. Ses propres parents furent des « enfants cachés », survivants de la tragédie. Dès lors, que transmettre à leur descendance ? Le principal concerné déploie un récit intime où il évoque la grande histoire, la psychanalyse, le yoga, le miracle d’être vivant et bien d’autres choses…

Durée : 1h20

Texte et interprétation : Éric Feldman

Mise en scène et collaboration à la dramaturgie : Olivier Veillon

Billetterie

Tarif préférentiel pour les adhérents Medem du 7 au 28 septembre (sauf les samedis) : 26 € au lieu de 30 € avec le code YIDDISHPETANQUE.

35ème rencontre international des enfants survivants de la Shoah et des descendants

2509 Forum Int'l Generations Shoah - Flyer général

Du 12 au 15 septembre 2025 à l’Hôtel Marriott Rive Gauche, Paris 

Organisée par la World Federation of Jewish Holocaust Survivors & Descendants, cette conférence internationale se tiendra à Paris pour la première fois depuis plus de 30 ans, avec le concours du Mémorial de la Shoah et le soutien du Forum Générations de la Shoah.

AU PROGRAMME 

du vendredi soir 12 septembre au lundi matin 15 septembre 2025

Conférences intergénérationnelles, Ateliers, Visites, Lunchs, Dîners, Musique et dancing.

Traduction simultanée en français pour toutes les conférences et ateliers.

Cet événement réunira des survivants et leurs descendants du monde entier pour partager leurs témoignages, préserver la mémoire et renforcer les liens intergénérationnels.

Parce qu’en France, la communauté des survivants et descendants de la Shoah est la troisième plus importante au monde, VENEZ NOMBREUX partager votre histoire et rencontrer d’autres familles.

RENSEIGNEMENTS, INSCRIPTIONS ET TARIFS

Mémorial de la Shoah

Tél. : 01 42 77 44 72

forumgenerations@memorialdelashoah.org

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Le dispositif Part’Âge du FSJU

Le lien social au cœur de l’action du FSJU

Part’Âge : c’est un dispositif de lien social qui propose des visites à domicile et des appels réguliers de bénévoles formés, pour des seniors se sentant seuls ou isolés.

L’objectif de Part’Âge est, plus largement, d’accompagner les associations concernées (hors champ médicosocial) dans une réflexion sur les stratégies à adopter pour mieux couvrir les attentes des seniors plus isolés.

Les actions, par des bénévoles formés :

  • Brin de Causette – Appels de convivialité
  • Brin de Compagnie – Visites de convivialité
  • Rester en lien avec les ainés par le biais d’une écoute active et des appels réguliers
  • Prévenir le sentiment de solitude et l’isolement
  • Assurer une veille sociale 
  • Chaque inscrit est contacté par un bénévole « attitré ». Ces appels permettent de construire une relation sécurisante et de qualité.
  • Apporter une aide administrative ponctuelle 
  •  Lutter contre la fracture numérique: aide à l’utilisation d’un téléphone, ordinateur ou tablette

Pour activer Part’Âge

Adresser une demande via le formulaire de demande de lien social sur Salesforce :

Alfred Dreyfus. Vérité et justice

Exposition du 13 mars au 31 août 2025 au mahJ

Près de vingt ans après sa première exposition consacrée à Alfred Dreyfus, le mahJ revient sur « l’Affaire » pour rappeler les grandes étapes de ce moment crucial de l’histoire de France, dont une des nombreuses conséquences fut la loi de séparation des Églises et de l’État. L’exposition révèle le combat acharné de Dreyfus pour faire éclater la vérité, corrigeant l’image d’un homme spectateur de la machination qui le conduisit à passer plus de quatre années à l’île du Diable et encore sept à lutter pour sa réhabilitation.

Cette exposition, qui a reçu le soutien exceptionnel du musée d’Orsay, s’appuie sur le riche fonds Dreyfus du mahJ, sur des prêts d’institutions – Archives nationales, Bibliothèque nationale de France, musées de l’Armée, du Barreau de Paris, Carnavalet, de l’École de Nancy, Maison Zola-Musée Dreyfus à Medan – ainsi que de collections particulières.

Commissariat : Isabelle Cahn, conservatrice générale honoraire des peintures au musée d’Orsay et Philippe Oriol, directeur scientifique de la Maison Emile Zola-Musée Dreyfus

Réservation sur le site

Bande annonce

« Midrash pour notre temps – Nature, technique politique » vient de paraître aux éditions Imago

Le Midrash, ensemble d’histoires issues de la tradition biblique juive, fait jouer entre eux les versets et, sans contrainte apparente, hors de toute signification figée et de tout jugement, suit un chemin buissonnier de réflexion et d’interprétation.

S’inscrivant dans cette perspective, à la lumière des allégories, des fables et des paraboles de la Bible, François Ardeven médite sur trois axes qui sont au cœur de nos préoccupations et de nos angoisses.

Tout d’abord la Nature, dont la fragilité, telle qu’elle s’est révélée sous les coups récents des hommes, nourrit l’anxiété écologique. Puis la Technique, divinité moderne dont les prouesses nous menacent de plus en plus – songeons au nouveau Golem que représente l’Intelligence artificielle. Enfin, la Politique qui aujourd’hui, plus que jamais, interroge les valeurs de nos démocraties.

S’appuyant également sur la philosophie, la littérature et la psychanalyse, François Ardeven nous invite à travers ses commentaires, aussi savants qu’impertinents, à porter un regard neuf sur le monde contemporain, et nous offre ainsi Un Midrash pour notre temps.

Ce livre qui comme le précédent fut d’abord un enseignement donné les dimanches matin pendant trois ans au Centre Medem à Paris et fidèlement retranscrit par Edith Apelbaum qui en a établi le texte pour que celui-ci soit relu, amendé, encore annoté et encore commenté par l’auteur, pour offrir aux lecteurs une pensée innovante et réjouissante.

Professeur de lettres classiques et psychanalyste, François Ardeven a étudié la philosophie et les mathématiques, il est docteur en psychopathologie clinique.

Il était l’invité les 17 et 24 mars de Marc-Alain Ouaknin dans l’émission « Talmudiques » à propos de son dernier livre Un Midrash pour notre temps – Nature, technique politique  (éditions Imago 2024).

Podcast à écouter    ▶︎ France Culture et Radio J

Le Collectif Pourim Shpil et le musée virtuel du Pourim shpil

Le Pourim shpil est un ensemble de manifestations festives, populaires, à caractère parodique, autour du Livre d’Esther et de la fête de Pourim.

Tradition carnavalesque juive multiséculaire, le Pourim shpil, littéralement Jeu de Pourim ou Jeu de sorts (די פּורים שפּילdi Purim shpil) en yiddish, illustre de façon humoristique, avec des clins d’œil à l’actualité, l’histoire d’Esther racontée dans la Bible. Le théâtre, le cinéma, la comédie musicale, le mime, la poésie, la musique, le masque, le carnaval, toute la culture juive y trouve sa place.

Le « Collectif Pourim Shpil », juridiquement constitué en Association loi 1901, a pour objectif principal de faire inscrire cet élément culturel sur une des listes de sauvegarde du patrimoine culturel immatériel de l’Unesco, selon la convention établie par cet organisme en 2003 (Article 12).

Le projet est aujourd’hui porté par neuf associations, l’Association des Amis de la Commission Centrale de l’Enfance (AACCE), le Centre Medem-Arbeter Ring, le Cercle Bernard Lazare, le Farband/Union des Sociétés Juives de France, la Maison de la culture yiddish, Yiddish pour Tous, Aki EstamosAl Syete, l’Union des Juifs pour la Résistance et l’Entraide (U.J.R.E.).

La première étape administrative, qui consistait à inscrire le Pourim Shpil à l’inventaire du Patrimoine Culturel Immatériel en France tenu par la Direction du patrimoine du ministère de la Culture, a été franchie « car chaque État – partie doit prendre les mesures nécessaires pour assurer la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel présent sur son territoire. »

Depuis le 4 janvier 2016, la fiche d’inventaire du Pourim Shpil est disponible sur le site du Ministère. C’est la 38ème pratique festive dans la liste du patrimoine en France, aux côtés des Fêtes de l’ours dans les Pyrénées orientales, des nombreux Carnavals de géants du Nord et du Fest-Noz de Bretagne.

Les prochaines étapes : aider d’autres pays à entreprendre la même démarche afin d’accélérer une candidature commune à l’Unesco ; continuer à collecter, inventorier, traduire, diffuser tous documents relatifs au Pourim Shpil.

Une ambition : la création d’un Théâtre Juif National et d’un Centre de recherche.

Visitez le musée virtuel

Voir le catalogue de l’exposition « De Babylone à New York – Métamorphoses du Pourim shpil« 

D’une enfance russe au socialisme yiddish :
Vladimir Medem, « légende du mouvement ouvrier juif »

Cette année marque le centenaire de la mort de Vladimir Medem (1879-1923),

grand théoricien du Bund et de la question nationale juive dans l’Empire russe,

théorisée dans le cadre des débats de l’internationalisme socialiste.

Vladimir Medem s’est distingué par ses écrits et ses activités politiques mais aussi par la singularité de son parcours personnel, sur lequel revient Constance Pâris de Bollardière, l’auteure de la préface de la récente réédition de l’ouvrage d’Henri Minczeles Histoire générale du Bund (éditions L’échappée).

Les mémoires de Medem, publiées à New York en 1923, servent de trame à cette évocation. (à lire aussi une notice dans les livres de mars de la bibliothèque du Centre Medem : https://www.centre-medem.org/livres-de-mars-avril-2023/)

Cliquez ICI pour accéder à la suite de l’article publié le 15 février par Constance Pâris de Bollardière dans la revue K numéro 100.

Musée de la résistance 1940 – 1945. Juifs, résistants et combattants

En septembre 1939, le gouvernement Daladier interdit, du fait du pacte germano-soviétique, le Parti communiste ainsi que les associations et organes qui lui sont affiliés parmi lesquelles la section juive de la main d’œuvre immigrée (MOI). Lorsque commence l’Occupation en juin 1940, ses militants ont déjà acquis une certaine expérience en matière de clandestinité, notamment au sein des organisations de jeunes ou des sections de la Main d’œuvre immigrée (MOI). A partir de l’été 1940, de nouvelles structures sont créées, telles que l’organisation Solidarité, destinées non seulement à venir en aide aux militants et à leurs familles mais également à permettre un maintien de leurs activités illégales. Entre 1940 et 1942, plusieurs associations et mouvements juifs développent des actions clandestines ou semi-clandestines ….. lire la suite : ICI

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