Catégorie : Anciens Articles Archivés

Espace Rachi  Guy de Rothschild
39, rue Broca- 75005 Paris
à 18h

Ce prix a été fondé en 1982 par les fils de Max CUKIERMAN, Roger et Henri, pour perpétuer le souvenir de leur père et de son attachement à la culture yiddish.

Le prix est décerné chaque année à une personnalité, qui contribue à la promotion de la langue et de la culture yiddish.

Lise Amiel-Gutmann, Présidente et les membres du Jury vous prient d’assister à la cérémonie de remise du PRIX MAX CUKIERMAN 2024 à Evgeny Kissin musicien et poète.

Immense pianiste jouant à l’international, il est né le10 octobre 1971 à Moscou. Passionné par le yiddish qu’il lit, écrit et parle, il incarne la jeune génération qui se passionne pour ce domaine de la culture juive. Il écrit régulièrement dans la revue Yiddish Branzhe des textes, romans, poèmes …

Il intervient aussi au Yivo et a donné à Paris au Centre Medem Arbeter-ring une soirée poésie mémorable à laquelle participait en tant que traductrice notre regrettée Batia Baum, elle aussi lauréate de notre prix. Evgeny ne rate jamais une occasion de s’exprimer dans notre « mame-loshn ».

En 2002 il obtient la citoyenneté britannique. Il s’affirme aussi en tant que juif et à ce titre, prend la nationalité israélienne en 2013 afin de « représenter ce pays dans ses concerts ».

En 2019 il publie un recueil de poèmes en yiddish. Pour Evgueny, le Yiddish est devenu un véritable moyen d’expression aux côtés du piano et de la composition. Aujourd’hui il porte la culture yiddish partout dans le monde au gré de ses voyages et transmet ce patrimoine avec force et conviction !

Réservation obligatoire ICI

Pour une mémoire toujours vivante

Le Forum Générations de la Shoah a réuni 600 personnes pour sa 3e édition.

Malgré les moments tragiques que nous vivons tous, ces journées du forum ont été denses et chaleureuses.

Nous vous invitons à les revivre dans ce petit film.

Screenshot

La Compagnie Lézard présente un spectacle théâtral et musical

en hommage aux victimes du 7 octobre 2023

avec les musiciens, chanteurs et comédiens du Chant Profond JuifCe qui est fait est fait.

Nous ne pourrons jamais réparer la tragédie du 7 octobre. Cependant, avec les artistes, nous allons lutter contre l’oubli, chasser la haine et retrouver la paix.

Ce récital est pensé comme une cérémonie artistique composée de textes se rapportant aux persécutions des Juifs depuis des siècles jusqu’à nos jours les plus récents. Que ce soient les envolées lyriques d’anciens poètes comme Yéouda Halévy et Haïm Nakhman Bialik, ou de courtes scènes théâtralisées extraites d’An-ski ou de Vassili Grossman, ces œuvres littéraires mises en scène nous plongent dans la tragédie sans renoncer à l’espérance.

Pour la première fois nous découvrirons les poèmes d’auteurs israéliens d’aujourd’hui qui ont eu le coeur de mettre des mots sur leur blessure du 7 octobre, blessure encore ouverte, qui est aussi la nôtre.

Les chants, en hébreu, arabe, yiddish, judéo-espagnol, français, choisis pour la circonstance, seront là pour le recueillement, l’apaisement, le réconfort et l’esprit de résistance.

Conception, écriture, adaptation et réalisation Jean-Henri Blumen.

Du jeudi 13 au Samedi 15 Juin 2024 de 19h à 20h20

« Aux rendez-Vous D’ailleurs » 109 rue de Haies 75020

« La plus précieuse des marchandises » d’après le conte bouleversant de Jean-Claude Grumberg.

Il était une fois, dans un grand bois, un pauvre bûcheron et une pauvre bûcheronne qui se désespère de ne pas avoir d’enfant… Au loin, on entend un train qui passe et des cris assourdis par la neige. Une vieille mélodie Yiddish traverse les nuages et s’accroche aux branches. Avec ce sens du tragique et de l’humour qui caractérise son style, Jean-Claude Grumberg raconte l’histoire de cette « plus précieuse des marchandises » sauvée de l’industrie de la mort grâce à un geste insensé qui fait que, malgré tout ce qui existe et n’existe pas, l’amour fait que la vie continue !

Un projet de David Jisse sous la forme d’ une narration musicale pour piano, voix et électroacoustique avec :

Mis en scène par Stanislas Roquette 

Musique – Denis Cuniot (musique klezmer) et Henry Fourès(composition électroacoustique)

Avec Denis Cuniot(piano), Olivier Constant (voix) et Jane David(voix)

Son – Christophe Hauser – Lumière – Yvan Lombard

Réservation sur helloasso

Astrid Bas donne à entendre la voix de Charlotte Salomon, jeune artiste née en 1916 et assassinée à Auschwitz en 1943, par la découverte d’une lettre inédite, adressée à son amant Daberlohn lors de son exil à Villefranche sur Mer où Charlotte qui fuit le nazisme crée « Vie ? ou Théâtre ? », l’œuvre picturale de toute sa vie.

À partir de ses mots, de sa peinture, qui seuls pourront la sauver des tourments de la guerre et de ceux de sa famille, on perçoit une personne qui se dessine : une femme, une adolescente, des moments de vie, une part de soi- même peut-être …

Au plateau, le texte est la colonne vertébrale autour de laquelle gravitent la vidéo, la musique et le mouvement.

Article de Presse – Emma de Montmartre :

« À côté  de la comédienne, la danseuse Anna Chirescu et les musiciens Ami Flammer et Paul Serri dégagent une présence fantomatique. Une relation sensible entre le texte et la danse. Un dialogue de sens, la démarche fondatrice de l’œuvre de Charlotte Salomon, « l’union des arts est nécessaire à la cicatrisation d’une vie abîmée. »

Les pieds dans la tradition, la tête dans le spirituel, le corps dans les musiques actuelles.

En revisitant les musiques sacrées des grandes traditions religieuses à travers des sonorités résolument modernes, nous cherchons à créer un espace où la musique sublime les différences et nous connecte les uns aux autres d’une manière profonde.
C’est dans la rencontre entre musiciens, ailleurs muselée, ici favorisée, que s’inscrivent les lignes de ce festival qui prône la fraternité. En ces temps où le dialogue peut sembler difficile, ce festival nous plonge au cœur d’une expérience musicale inédite où les frontières entre les genres et les croyances s’estompent pour laisser place à la célébration de la diversité et de l’unité.

La musique devient le territoire du vivre ensemble.

Tarif spécial est de 18 euros pour les membres d’associations : pour le 2 mai Liraz et le 7 mai Walid Ben Selim

Le 2 mai pour l’ouverture du festival, nous avons réuni sur un même plateau 3 femmes exceptionnelles : La chanteuse mezzo soprano franco iranienne Ariana Vafadari, la chanteuse pop actrice israélo iranienne Liraz et le Dj de tous les orients Sharouh :

La Belleviloise 19 rue Boyer 75020 PARIS  : ouverture des portes à 19h00 – Concert prévu à 20h00

 

Le 7 mai  Walid Ben Selim & Marie-Marguerite Cano : Walid Ben Selim se fait le porte-voix des plus grands noms de la poésie soufie. À travers cet Orient mythique, mystique et millénaire, celui-ci cherche à percer la vibration première dans un souffle épique et méditatif. Accompagné par la virtuose harpiste classique, Marie-Marguerite Cano, il fonde un espace de spiritualité musicale, une forme d’échange entre la langue parlée arabe et la langue inaccessible et symbolique de la harpe. Un fief poétique semé d’amour et de joie.

Synagogue Copernic, 24 Rue Copernic, 75116 Paris : ouverture des portes à 19h00– Concert prévu à 20h30

Programmation complète du Festival

Laurence Haziza – Directrice du Sacré Sound Festival

Au cinéma Le Saint André des Arts du 21 au 26 février et les mardis 5 et 12 mars

Séances à 13h

Rencontre avec le réalisateur et avec Evelyne Oliel Grausz (26 fév), Michel Gad Wolkowicz (5 mars) et Leila Féreault-Lévy (12 mars).

Avril 1903, un dimanche de pâques à Kichinev, alors province du vaste empire russe du Tsar Nicolaï II. Ce jour-là, les juifs – qui représentent un tiers de la population – célèbrent, eux aussi, la fin des sept jours de leur fête de pâques, Pessah. Soudain, un pogrom antisémite éclate: trois jours et deux nuits de viols, traques, violences, massacres, vols, pillages. La police et l’armée laissent faire. Alors, un poète – Haim Nahman Bialik – est envoyé pour récolter les témoignages des victimes. Il en tire une oeuvre grandiose, Dans la ville du massacre, poème qui changera le cours de l’histoire. Zohar Wexler, comédien, retourne dans la ville de ses ancêtres. Il veut faire résonner ce poème, évoquer la mémoire de ce moment charnière où l’état abandonne une partie de sa population.

Bande annonce

Avec Valeria Bruni Tedeschi et Yona Rozenkier le 28 février au cinéma.

À Tel Aviv, Ori croise Anna, une écrivaine française, lors du procès d’un criminel de guerre nazi. Il est choqué de reconnaître l’amour de sa vie, dont le souvenir le hante depuis qu’ils sont tombés follement amoureux à Turin vingt ans auparavant. Mais Anna maintient qu’ils ne se sont jamais rencontrés. Peut-être que dans le désert, les choses deviendront plus claires…

Un mélange entre drame amoureux et mémoire de la Shoah.

10 places offertes aux adhérents pour l’avant première avec l’équipe du film au MK2 Nation le 26 février.

Les places seront offertes aux premières personnes qui en feront la demande par mail centre.medem@gmail.com

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