Festival Jazz’N’Klezmer

Du 8 au 23 novembre 2025

Cette 23e édition reprend le souffle du jazz et du klezmer pour nous emmener, ensemble, vers de nouveaux horizons.

Poursuite du voyage entre jazz et klezmer, guidés par le même élan, pour continuer à remplir les cœurs de joie, de découvertes et d’émotions. Avec une programmation, réalisée par Laurence Haziza qui réinvente chaque année le programme; resserrée autour de projets forts. Cette 23e édition invite à redécouvrir less musiques profondes, capables d’illuminer les ombres de notre époque et d’ouvrir des espaces de rencontres et de création.

Cette année, le festival retrouve avec bonheur des scènes complices du festival : le Studio de l’Ermitage, le Café de la Danse qui avait accueilli Noces Yiddish l’an passé, le Centre Européen du Judaïsme et la mythique salle de l’Alhambra, où les musiques se déploieront avec éclat. Et parce que Jazz’N’Klezmer aime aussi voyager, dix grandes villes accueilleront cette année encore les artistes sur les routes de France.

Car plus que jamais, la musique demeure notre force de rassemblement et d’espérance.

Coup de coeur : Le lundi 17 novembre, au Café de la Danse, le festival fêtera les 20 ans du label JUMU, en hommage à Claude Szwimmer, figure visionnaire de la scène juive contemporaine, mais aussi les 20 ans de Boogie Balagan, qui célèbreront la sortie de leur nouvel album avec l’énergie méditerranéenne qui a fait leur renommée.

Reconstructions par l’écrit

Les revues juives en France dans l’immédiat après-guerre (1945-1967)

Jeudi 6 novembre 2025 de 9h à 17h

Journée d’étude coordonnée par Valérie Assan, Archives juives, Jean-Claude Kuperminc, Alliance israélite universelle et Judith Lindenberg mahJ,

En partenariat avec l’Alliance israélite universelle et la Commission française des archives juives.

La France a connu, avec les « sciences du judaïsme » à la fin du XIXe siècle, l’émergence de nombreuses revues juives, scientifiques (la Revue des études juives naît en 1880) ou d’idées (comme La Revue juive fondée par Albert Cohen en 1925). Dans le mouvement de reconfiguration du monde juif après la Shoah, naissent des revues embrassant de nouveaux enjeux, entre reconstruction et commémoration. Ces publications émanent d’institutions, d’associations, ou de communautés d’émigrés.

Cette journée dressera un panorama de ces revues en revenant sur certaines d’entre elles, pour en cerner la richesse et les ramifications. À cette occasion, seront célébrés les soixante ans de la revue Archives juives, fondée en 1965 par Bernhard Blumenkranz.

Le programme 

Entrée libre sur inscription

De Buchenwald à l’OSE : se reconstruire après la Shoah

« Des enfants, des destins »
Mercredi 12 novembre 2025, de 9h00 à 17h00
Salle Colbert – 128 rue de l’Université, 75007 Paris

Lorsque les soldats américains pénètrent dans le camp de Buchenwald, le 11 avril 1945, ils découvrent avec stupéfaction un millier d’enfants et adolescents parmi les survivants. 426 d’entre eux sont accueillis par la France et confiés à l’OSE, qui leur offre un toit, des soins, un enseignement et surtout l’espoir de reconstruire leur vie, grâce au soutien et à l’accompagnement de leurs éducatrices et éducateurs. Elie Wiesel, écrivain et prix Nobel de la paix ou Israël Meir Lau, ancien Grand Rabbin d’Israël, comptent parmi ces jeunes.

80 ans se sont écoulés depuis la fin de la guerre et la libération des camps. Nous sommes aujourd’hui en présence des derniers témoins rescapés de la Shoah et nous avons, aujourd’hui plus que jamais, besoin d’écouter leur voix pour ne pas oublier, pour apprendre et comprendre, transmettre aussi et ouvrir les yeux sur le monde qui nous entoure.

Davantage qu’un colloque historique, l’OSE vous invite à une journée de témoignages et de récits croisés autour des enfants de Buchenwald, mercredi 12 novembre, au sein de la prestigieuse salle Colbert de l’Assemblée Nationale.

Programme et inscription, entrée sur présentation d’une pièce d’identité.

Retours de déportation

Colloque les 3 et 4 novembre 2025

Auditorium de l’Hôtel de Ville – 5 rue Lobau 75005 PARIS

Entrée libre, sur inscription : histoire@fondationshoah.org

 

Colloque organisé en partenariat par la Fondation pour la Mémoire de la Shoah et la Fondation de la Résistance.

Le 3 novembre, accueil à 8h45 et à 9h15 Mots d’accueil Pierre-François Veil, président de la Fondation pour la Mémoire de la Shoah et Gilles Pierre Lévy, président de la Fondation de la Résistance.

Inscription : histoire@fondationshoah.org

Trois conférences par jour : le programme complet cliquez ici

TRANCHER – création 2025-2026 de la compagnie Haut les cœurs !

Une enquête intime sur la place de la religion dans les rapports amoureux.

Le samedi à 19h du 11/10/2025 au 13/12/2025 

L’être aimé vient de rompre. Une énième fois. Constatant la répétition mortifère dans laquelle elle est prise, Sophie décide d’agir. Elle va remonter le fil de son rapport à l’amour et à la religion juive, chercher ce qui cloche, essayer de faire fuir les monstres… La pièce est à la fois une confession et une catharsis, l’espoir fou que la parole peut générer une libération et une réinvention de soi.

Que faire de notre héritage?
Quelle place pour l’individualité au coeur de la religion?
Comment concilier respect et émancipation?

Texte et jeu : Sophie Engel /Mise en scène : Sophie Engel et Héléna Sadowy

Réservation

Le dossier presse

Les caisses de la honte ou Rose Valland, héroïne de l’ombre

Représentation exceptionnelle : Samedi 25 Octobre à 19h

Pierrette Dupoyet auteur, Interprète, Metteur en Scène, est de retour pour nous conter l’histoire des œuvres d’art volées par le 3° Reich d’Hitler. Une personne a vu le vol se dérouler et a pris des notes pour qu’on puisse les retrouver. Quand la guerre éclate et que le III° Reich s’installe, ils font la guerre aux œuvres d’art en classant celles-là entre  « art » et « art dégénéré ».

Les sbires d’Hitler vont mettre de côté l’art dit « dégénéré » pour le détruire en grande partie et mettre en caisse le reste, les grandes œuvres de nos musées, des galeries et des propriétaires particuliers. Mais une femme, Rose Valland, qui travaille au sein du Musée du Jeu de Paume, va noter tout ce qu’elle voit, ce qui nous permettra la guerre finie de récupérer plus de 60 % des œuvres.

Pierrette Dupoyet avec sérieux et efficacité va nous conter la vie et l’action de Rose Valland qui a su sauver les œuvres d’art françaises.

Comme chaque fois avec Pierrette, c’est avec une mise en scène sobre et efficace qu’elle plante un décor et nous raconte la vie de l’héroïne. C’est toujours captivant, c’est du « Pierrette », il n’y a qu’elle qui peut conter l’histoire avec tant de talent (Jean Michel Gautier   REGARTS  13/07/2025).

Représentation à L’Ours et la Vieille Grille, 9 Rue Larrey – 75005 Paris.

Réservation indispensable par mail àpdupoyet@wanadoo.fr (jauge limitée)

Prix unique d’entrée: 20 €

Melting-Pot au Studio Hébertot

De Israël Zangwill
Adapté par Marie-Céline Courilleault

jusqu’au 19 octobre

1907. Comme des milliers de personnes avant lui, David Quixano débarque à New York. C’est un violoniste prodige. Il a fui la Russie pour rejoindre son oncle Mendel et sa grand-mère Frau Quixano qui ne parle que yiddish. Mendel est professeur de musique et la grand-mère se chamaille souvent avec Kathleen, la bonne irlandaise qui ne comprend pas les usages.
David va tomber amoureux. Véra Revendal a fui la Russie. Révolutionnaire, elle a échappé aux soldats du Tsar. Mais elle est Chrétienne, orthodoxe, et Mendel Quixano n’accepte pas cet amour. Et il n’est pas le seul : Quincy Davenport, millionnaire américain veut épouser Véra. Il va donc faire venir le Baron Revendal et sa seconde épouse pour avoir leur soutien.
Véra et David ne le savent pas encore mais le temps et l’Histoire jouent contre eux. Heureusement ils peuvent compter sur Pappelmeister le chef d’orchestre allemand qui est le mentor de David.
L’amour de Véra et David triomphera-t-il du passé sur la terre du Melting-Pot ?

Du jeudi au samedi à 19h – dimanche à 17h
Plein tarif : 30 € – tarif réduit : 20 € (+ de 65 ans, chômeur) – 18-26 ans : 12 € – – de 18 ans : 10 €
0142931304
Par Billetreduc les prix sont plus abordables.

Violences avec Léa Drouet au théâtre de la Bastille

Du 13 au 18 octobre

Conception, écriture et interprétation Léa Drouet

Au centre de la scène, un petit monticule de sable. Une main qui creuse, celle d’un enfant qui s’amuse à enfouir ses jouets. À partir de cette image ordinaire, de ce détail intime, Léa Drouet déploie des récits qui résonnent subtilement entre eux. Suivant d’abord les pas de sa grand-mère Mado, petite fille fuyant à travers champs pour échapper à la rafle du Vél’ d’Hiv’, le spectacle exhume ensuite l’histoire de Mawda, une enfant kurde de deux ans abattue par un policier belge en 2018. De bac à sable, la scène devient alors un terrain d’enquête, une scène de crime, peut-être même le site archéologique de notre violence et des institutions qui la légitiment. Au croisement du récit, de la poésie sonore et de la scénographie, dans les interstices entre la mémoire et le silence, Léa Drouet façonne avec délicatesse des paysages éphémères, esquissant les contours de nos futures résistances. La douceur et l’écoute se révèlent alors comme des actes politiques, aussi radicaux que les éclats de colère.

Du Lundi 13 Octobre 2025 au Samedi 18 Octobre 2025

Relâche le jeudi 16 octobre

Le placement est libre

Réservation

Le FSJU s’inscrit dans la Semaine bleue

Pour la 2ème année consécutive, Le FSJU s’inscrit dans la Semaine bleue, semaine nationale coordonnée par l’UNIOPSS et dédiée aux personnes retraitées et âgées, ainsi qu’aux liens intergénérationnels.

Différentes initiatives se dérouleront au plan national du 6 au 12 octobre 2025,  le thème de  cette année « Vieillir une force à partager ».

En raison des fêtes de Tichri, le FSJU convie les séniors à participer à un après-midi solidaire le Mardi 21/10/25 de 13h45 à 17h

Cet événement se déroulera à l’Espace Rachi au 39 rue Broca 75005 Paris.

Au programme : atelier, goûter convivial et rencontres entre générations.

  • Prévention des chutes
  • Expression corporelle
  • Echange intergénérationnel
  • Chorale

Vous pouvez dès à présent vous inscrire à l’un des ateliers proposés, auprès de Laetitia Hayoun au 06 80 50 69 88 ou à partage@fsju.org 

PAF : 5 euros

On ne jouait pas à la pétanque dans le ghetto de Varsovie

REPRISE

Au théâtre du Petit Martin  – Salle Roland Topor

du 6 septembre au 26 octobre 

Convoquer l’humour pour aborder sur scène la mémoire funeste de la Shoah. C’est ce qu’entreprend l’artiste Éric Feldman dans ce que l’on pourrait qualifier de stand-up théâtral d’art et essai !

Mi-conférence, mi-confidence, cette autofiction jubilatoire nous entraîne dans une spirale de facéties, de pensées et d’émotions pures. Il faut dire que le comédien sait de quoi il parle quand il énonce les traumatismes de l’Holocauste. Ses propres parents furent des « enfants cachés », survivants de la tragédie. Dès lors, que transmettre à leur descendance ? Le principal concerné déploie un récit intime où il évoque la grande histoire, la psychanalyse, le yoga, le miracle d’être vivant et bien d’autres choses…

Durée : 1h20

Texte et interprétation : Éric Feldman

Mise en scène et collaboration à la dramaturgie : Olivier Veillon

Billetterie

Tarif préférentiel pour les adhérents Medem du 7 au 28 septembre (sauf les samedis) : 26 € au lieu de 30 € avec le code YIDDISHPETANQUE.

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