La Plus Précieuse des marchandises de Michel Hazanavicius

Sortie le 20 novembre 2024 et toujours en salle à fin décembre 2024

Il était une fois, dans un grand bois, un pauvre bûcheron et une pauvre bûcheronne. Le froid, la faim, la misère, et partout autour d ́eux la guerre, leur rendaient la vie bien difficile. Un jour, pauvre bûcheronne recueille un bébé. Un bébé jeté d’un des nombreux trains qui traversent sans cesse leur bois. Protégée quoi qu’il en coûte, ce bébé, cette petite marchandise va bouleverser la vie de cette femme, de son mari et de tous ceux qui vont croiser son destin, jusqu’à l’homme qui l’a jeté du train. Leur histoire va révéler le pire comme le meilleur du cœur des hommes.

Dossier de presse

Annette Wieviorka, historienne de la Shoah et des Juifs au XXème siècle a écrit à propos de ce film :
« Il était une fois, dans un grand bois, une pauvre bucheronne… C’est donc un conte, narré par la voix d’outre-tombe restée familière de Jean-Louis Trintignant alors qu’apparait sur l’écran les dessins d’une forêt. C’est un conte écrit par Jean-Claude Grumberg et que nous sommes si nombreux à avoir lu. C’est un conte, devenu film d’animation. Le temps a passé depuis celui de l’histoire qu’il nous raconte et qui appartient désormais à l’histoire. Les trains roulent à travers la forêt, avec leur marchandise humaine scandant le récit comme ils scandaient Shoah de Claude Lanzmann. Car ce conte qui est aussi un conte philosophique puisqu’il est question du bien et du mal raconte de façon bouleversante ce que fut la déportation, l’annihilation des Juifs ».

Ciné-club YIDDISH POUR TOUS

La Plus Précieuse des marchandises de Michel Hazanavicius

En avant-première le 10 novembre à 11h au Majestic Passy

Il était une fois, dans un grand bois, un pauvre bûcheron et une pauvre bûcheronne. Le froid, la faim, la misère, et partout autour d ́eux la guerre, leur rendaient la vie bien difficile. Un jour, pauvre bûcheronne recueille un bébé. Un bébé jeté d’un des nombreux trains qui traversent sans cesse leur bois. Protégée quoi qu’il en coûte, ce bébé, cette petite marchandise va bouleverser la vie de cette femme, de son mari et de tous ceux qui vont croiser son destin, jusqu’à l’homme qui l’a jeté du train. Leur histoire va révéler le pire comme le meilleur du cœur des hommes.

Billetterie 

Anna Waisman, artiste prodige du XXe siècle

Vernissage de l’exposition Hymne à la vie

à la GALERIE CLAUDE KELMAN

Dimanche 10 novembre, de 16h30 à 19h30

Au profit de la campagne Tsédaka FSJU

Du 10 novembre au 15 décembre 2024, le Centre d’Art et de Culture accueille un événement polyvalent dédié à l’œuvre et à la vie d’Anna Waisman, figure importante et encore méconnue de l’art du XXe siècle. Cette programmation offre aux visiteurs une immersion dans l’univers d’une artiste hors du commun.

L’exposition d’ouverture de la galerie Claude Kelman du Centre d’Art et de Culture nous offre une rétrospective des œuvres les plus marquantes d’Anna Waisman.

Partie du point et du trait, elle a cherché à comprendre comment se formait un corps dans l’espace. Puis elle s’est mise à travailler sur le fil, qui matérialise l’espace invisible, rendant cette énergie tangible.

Des peintures aux sculptures, en passant par ses collages et ses déchirures, cette exposition retrace l’évolution artistique permanente de cette pionnière de l’art contemporain, qui n’a cessé de célébrer la vie et le mouvement.

Cet hymne à la vie est une alchimie de la science, de la mystique et du corps.

Réservation

Festival Jazz’N’Klezmer

22ème anniversaire Jazz’N’Klezmer

du 6 au 20 novembre 2024

Pour ouvrir en beauté la 22ème édition du Festival Jazz’N’Klezmer, Lionel Belmondo sera à l’honneur avec son projet Les Enfants d’Izieu, œuvre poignante dédiée à la mémoire des 44 enfants juifs raflés en 1944 dans la colonie d’Izieu, en France, et déportés vers les camps de la mort. 

Ce projet, à la fois profond et spirituel, s’inscrit dans une démarche de transmission, rendant hommage à ces enfants à travers une musique qui mêle jazz et musique classique, portée par l’émotion et l’histoire. 

Belmondo, saxophoniste de renom, a puisé dans son propre héritage pour créer une composition qui traduit la douleur, mais aussi l’espoir. 

Accompagné de musiciens talentueux, il fait dialoguer les instruments pour évoquer à la fois la beauté de l’enfance et l’injustice tragique de leur destin. 

L’émotion palpable dans chaque note rend ce concert unique, en nous rappelant l’importance du devoir de mémoire et la force de la musique pour raconter les histoires que l’Histoire elle-même ne doit jamais oublier.

Une soirée d’ouverture prometteuse, qui réunit des musiciens d’exception pour un moment unique. 

Laissez-vous emporter par une rencontre inédite entre histoire, musique et émotion. Un rendez-vous à ne pas manquer pour bien débuter le festival!

Les adhérents Medem bénéficient d’une réduction : code promo pour la soirée d’ouverture du 6 novembre 2024 : JNK24OUV

RESERVATION

Retrouvez toute la programmation ICI

Le Centre Medem en partenariat avec le mahJ présente « Le Dibbouk »

Fiction de Michał Waszyński – Pologne, 1937, 123 min, yiddish sous-titré français, copie restaurée, présentée par Serge Bromberg, avec Pascale Samuel et Samuel Blumenfeld, commissaires de l’exposition

Œuvre phare du cinéma yiddish adaptée de la pièce d’An-ski, Le Dibbouk est interprété par les plus grands artistes du théâtre yiddish de l’époque.

Réalisé en 1937, ce film expressionniste envoûtant et magistral, inspiré de la mythologie hassidique d’Europe centrale, est l’un des derniers films tournés en yiddish en Pologne.

L’adaptation de Michał Waszyński s’impose comme le film le plus populaire du cinéma yiddish, touchant les spectateurs bien au-delà du public juif. Si la Shoah a englouti le monde juif européen, l’intérêt pour le dibbouk ne disparaît pas pour autant. Il se déplace aux États-Unis dans les années 1960, où la figure du dibbouk incarne le retour du refoulé. Lors de la traque d’Adolf Eichmann par le Mossad, « dibbouk » désigne le criminel nazi. En Pologne à partir des années 1980, Andrzej Wajda puis Krzysztof Warlikowsky proposent de nouvelles mises en scène du Dibbouk, devenu le fantôme d’un pays sans juifs hanté par son passé.

Billetterie : tarif préférentiel pour les adhérents du Centre Medem. Nouvelle séance programmée à 15h30.

Ce film est projeté dans le cadre de l’exposition qui a lieu au mahJ du 26 septembre 2024 au 26 janvier 2025 : « Le Dibbouk. Fantôme du monde disparu »

Autour de l’exposition « Le Dibbouk. Fantôme du monde disparu »

Grand concert au Théâtre de la Ville Sarah Bernhardt

Rencontre musicale le 13 octobre à 17 h

entre le Trio YAT (D.Cuniot, B. Girard et R. Yulzari ) et le groupe Rakija Klezmer Orkestar

Extrait du dossier de presse :

“LE GROUPE LITUANIEN, REJOINT PAR LES PIONNIERS DU KLEZMER FRANÇAIS, MET AU DÉFI LA DOULOUREUSE MÉMOIRE POUR FAIRE REVIVRE MÉLODIES YIDDISH LANCINANTES ET RYTHMES ENDIABLÉS DES BALKANS… »

À Vilnius, jadis considérée comme la Jérusalem du Nord, des jeunes musiciens partent à la recherche des traces de la musique Klezmer en Lituanie, part d’une culture juive florissante irrémédiablement perdue. Aucune partition, très peu d’écrits ont été retrouvés mais, inspirés par la dynamique du renouveau à l’œuvre en Europe et aux États-Unis, ils se sont lancés, leur solide qualité d’instrumentistes et leur formidable talent d’improvisateurs faisant le reste. Denis Cuniot, pianiste, pionnier de la renaissance du Klezmer en France, le violoniste Bruno Girard, cofondateur du groupe Bratsch, et Rémy Yulzari, compositeur et contrebassiste, sont de ces musiciens de formation classique qui mettent leur virtuosité au service de l’âme. Ils joueront en écho des Lituaniens et avec eux, dans un mouvement collectif réjouissant… »

Théâtre de la Ville Sarah Bernhardt – Grande salle

Prix : 8 à 23 €

RÉSERVATION

Le trio GAYANEH avec BIELKA et SOULIKO

BIELKA sera le dimanche 6 octobre 2024 à 17 h 

à l’atelier Coriandre

L’Atelier Coriandre propose une promenade musicale entre France, terre d’asile et de vie, Arménie de nos rêves, Russie éternelle, et chansons d’errance.

Avec :

Le trio GAYANEH, chant, guitare, violon et flute traversière

(chansons d’Arménie, de France et d’ailleurs)

Et :

BIELKA et SOULIKO (chants slaves et de Géorgie)

La soirée se terminera par l’habituel pot convivial autour de ce que nous apporterons à boire et à grignoter.

Participation aux frais : 10€ ou au-delà !

Atelier CORIANDRE- 86 rue Gaston Lauriau-93100 Montreuil ( Métro Mairie de Montreuil)

Réservations : bielkabielka@hotmail.com

En Quoi Cette Nuit ?

Spectacle au Théâtre de la Reine Blanche

Avec le soutien de L’Espace Rachi

En quoi cette nuit?… « est une comédie poétique et singulière écrite par Renaud et Barbara Tissier, frère et sœur dans la vie.

Ils se sont inspirés de l’histoire de leur famille pour faire danser les souvenirs et la tradition, un soir de seder de Pessah, dans un joyeux œcuménisme théâtral.

Il y est question d’anecdotes familiales, de déracinement et de transmission, quand la petite histoire vient bousculer la grande.

Un musicien et deux comédiennes sont sur scène pour incarner tous les personnages.

Le spectacle se joue du 24 septembre jusqu’au 3 novembre au Théâtre de la Reine Blanche, 2 bis pass. Ruelle, 75018, Paris.

Mise en scène :David NATHANSON
Avec :Barbara TISSIER, Camille TIMMERMAN en alternance avec Hannah Jazz Mertens, Alban LOSSEROY

Les adhérents de Medem peuvent réserver au tarif groupe  : ICI

Journées Européennes de la Culture et du Patrimoine Juifs 2024 : FAMILLES

 

Programmation Paris – Ile de France ICI

Dans le cadre des Journées Europééennes de la Culture et du Patrimoine Juifs 2024 et de la coopération avec les JECPJ France, le Centre Medem organise le samedi 9 novembre  la projection de deux films documentaires (avec un entracte goûter) :

14h : « Alfred et Lucie Dreyfus. Je t’embrasse comme je t’aime« .

tous droits réservésFilm écrit et réalisé par Delphine Morel.
Victime d’une effroyable machination, le capitaine Dreyfus est condamné en décembre 1894 à la déportation pour haute trahison. Avant son départ au bagne, sa femme Lucie passe un pacte : vivre à tout prix, jusqu’à sa libération. Elle est soutenue dans ce combat par Mathieu Dreyfus, qualifié de « frère héroïque » par Emile Zola, qui se dévoue pendant toute l’affaire pour la réhabilitation de son cadet. En présence de Philippe Oriol, Historien, Directeur scientifique de la Maison Emile Zola-Musée Dreyfus et d’Elisabeth Weissman, autrice du livre « Lucie Dreyfus, la femme du capitaine ».

15h30 : Collation – Exposition.

L’exposition, illustrée par de nombreux documents issus principalement des collections de la Bibliothèque Nationale d’Israël, décline l’importance de la famille dans le judaïsme au travers des thèmes suivants : famille et tradition, familles illustres, familles de cœur, parents et enfants, histoires familiales, fonder une famille, rites familiaux, familles séparées. Grâce au travail d’Hélène Papiernik et de Désirée Mayer, JECPJ-France a réalisé une adaptation française de cette exposition qui comprend neuf panneaux en format kakemono.

16h : « La résistante et l’enfant »

Dans ce film remarquable de force et de tendresse, s’entrecroisent deux témoignages : celui d’Eva Golgevit (1912-2016), femme exceptionnelle, résistante dans la MOI sous l’occupation, et déportée à Auschwitz ; celui de Jean, son fils, qu’elle a réussi à cacher. En présence de Jean Barat, réalisateur, de Jean Golgevit, violoniste, compositeur et chef de chœur et de Alain Jomy, qui a filmé les entretiens.

Tarif pour chaque film : 7 € pour les adhérents Medem. 10 € pour les non adhérents.

Programme complet des JECPJ qui a débuté le 15 septembre au MAHJ.

7 octobre, le temps d’après… Espace Rachi

Textes, poèmes, chants, pour la mémoire et la consolation

Ce qui est fait est fait. Les morts ne reviendront plus.

Nous ne pourrons jamais réparer la tragédie du 7 octobre.

Cependant, avec les artistes, nous allons lutter contre l’oubli, chasser la haine et retrouver la paix.

Les 8 et 9 octobre prochains, des musiciens, des chanteuses, des comédiens seront la scène de l’Espace Rachi pour rendre hommage aux victimes du 7 octobre 2023.

Chaque artiste s’exprimera :

  • Avec des chants : en hébreu, en arabe, en yiddish, en judéo-espagnol, en français
  • Avec des textes de grands auteurs juifs classiques et des poèmes d’auteurs israéliens d’aujourd’hui qui ont eu le coeur de mettre des mots sur leur blessure encore ouverte, qui est aussi la nôtre

Jean-Henri Blumen et la troupe du Chant Profond Juif

Réservation

Partager
cette page

Facebook Email WhatsApp SMS Twitter
Partager cette page avec des amis