Les associations en fête

De 14 à 19h devant la Mairie du 3ème

Stands tenus par les associations

Le Centre Medem et le CLEJ seront présents

Degustation de sandwichs et gateaux présentés par le CLEJ

Librairie

Kinder Vinkl animé par la Bibliothèque du Centre Medem

Le Monde de Maurice Sendak

à 14h

Spectacle animé par Lise Amiel-Gutmann

SHTETL STOMPERS

TALILA et ses musiciens

YOM, NEW KING OF KLEZMER CLARINET

et la journée se termine par les danses israeliennes de

REGINE VINER

Projection de 3 documentaires

They were not silent-Ils n’ont pas été passifs
Documentaire (30mn) sur le Jewish Labor Committee avant, pendant et après la Seconde Guerre mondiale.-New York University-Taniment Library (1997) Gail Malmgreen
Le film contient de rares images d’archives, photographies ainsi que des entretiens avec des survivants et universitaires.. Il explore la manière dont le JLC est venu au secours des Juifs et non juifs en Allemagne, en Pologne et ailleurs en Europe.

Der Ruf zum leben –Rappel à la vie
Un film de Maurice Wolf (29mn) produit par Elie Davidson(1945-46)
Le martyr de l’enfance juive
Avec Daniel et Dora Schwartz ,Poliakoff, et l’apparition de Charles Denner
Chorale du SKIF et des EIF

Di Kinder fun di heymen-Les enfants de nos maisons
Un film d’Elie Davidson-(1949) En remerciement au JLC, présentation des homes de Maisons Laffitte, Les Andelys, La Verberie, La Colonie Scolaire et Brunoy par Fajwel Schrager

CONFÉRENCE-DÉBAT : La Banalité du bien

Guy Konopnicki

Détournant avec ironie et provocation l’expression de « banalité du mal » utilisée par Hannah Arendt, cet essai incisif et percutant oppose l’espace « banal », celui du bien commun, aux particularismes, pressés d’en finir avec la laïcité républicaine.

gif_Image4-3.gif

Cet essai est un “coup de gueule ” –dont Guy KONOPNICKI est coutumier– contre la liquidation de la laïcité, le communautarisme et l’obscurantisme.
Il y démontre les dangers que représente, pour notre République, cette volonté de valoriser à tout prix la « diversité » et les différences (de sexe, de religion, de couleur de peau, etc.), au détriment de l’appartenance 
« commune » des citoyens à la République.

La chose publique (Res publica) est d’abord cet espace « banal » celui des biens appartenant à tous.
Fustigeant toutes formes de discrimination -y compris positive- l’auteur propose de revenir à la ” banalité ” de la citoyenneté :

« Je veux être un citoyen banal, que seul le mérite peut distinguer. »

Il refuse les « signes distinctifs » que l’on cherche à nouveau à nous faire porter et qui stigmatisent toutes les catégories de français. Si la France de Voltaire est celle de l’irrespect, nous n’avons que faire de ce ” respect ” exigé par les différentes minorités religieuses, qui elles-mêmes ont vécu librement dans une République qui obligeait à retenir, ce qui était commun.
Présentation Jacques DUGOWSON

Un film de Alex SZALAT

Clara LEMLICH
Journal d’une meneuse de grève

La grève des ouvrières du textile, dite “révolte des 20 000” fut un mouvement dont l’importance et l’âpreté marqua toute l’histoire du mouvement ouvrier américain. Grève de la confection, grève de femmes de plusieurs nationalités surexploitées. À New York, en 1909, la grève révèla Clara Lemlich à l’Amérique. Celle qui se lève comme porte-parole des 20 000 autres. C’est ce mouvement et cette femme que nous avons voulu raconter. Raconter l’Amérique de Clara, celle des pionniers humiliés mais debout, des femmes, des combattantes de la justice sociale. Ils viennent tous d’ailleurs, Clara est Juive russe, d’autres sont Italiens, Irlandais… Tous finiront Américains. Le Nouveau Monde fut aussi le produit de cet amalgame-là.

jpg_11810.jpg

Partager
cette page

Facebook Email WhatsApp SMS Twitter
Partager cette page avec des amis