Les cahiers d’Abraham Zoltobroda


traduit du yiddish par Batia Baum

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Paradoxe de l’histoire, les hôpitaux psychiatriques français, devenus des mouroirs sous le régime de Vichy, ont aussi abrité des victimes des persécutions nazies.
Abraham Zoltobroda est de ceux là.

“Arrêté et interné au camp d’internement de Beaune-la-Rolande, cet homme,
Juif polonais réfugié en France, relate, durant des mois, sur des cahiers
d’écolier, son combat acharné pour rester “dans la maison des fous”, à
Fleury-les-Aubrais.
Grâce à cette “stratégie de survie”, il échappera au sort des milliers de
Juifs (plus de 15 000), qui, après avoir été internés dans les camps du
Loiret, furent dans leur très grande majorité déportés et exterminés à
Auchwitz-Birkenau.
Son récit, ceux de ses proches, les documents d’archives inédits publiés ici
et les analyses qui les accompagnent sont un témoignage précieux sur le
traitement réservé par l’administration française aux Juifs dans les camps
d’internement et dans les “asiles”, ainsi qu’un hommage au courage du
personnel médical.”

Un livre publié par le Cerciljpg_logo_cercil.jpg

Les souffrances de Job

THEATRE au Centre MEDEM

Les souffrances de Job

Mise en scène d’Ophélie KERN

Qui sommes-nous ?

Élève en études théâtrales à l’École Normale Supérieure depuis 2006, Ophélie KERN travaille cette année sur l’œuvre de Hanokh LEVIN.

Sa troupe, réunissant des élèves de l’ENS, mais aussi d’apprentis comédiens venus de l’extérieur, s’est attelée à l’une de ses pièces, Les Souffrances de Job, créée au Théâtre Kantor, à Lyon, le 30 Janvier 2008. Ce projet résulte donc du travail collectif d’un groupe d’étudiants dynamiques, passionnés, œuvrant ensemble à faire découvrir, ou redécouvrir, l’un des chefs-d’œuvre de l’écriture israélienne contemporaine.

Humour, cynisme, philosophie, énergie s’entremêlent dans ce spectacle pour témoigner d’une écriture largement influencée par les origines ashkénazes de son auteur, où la Bible, la Shoah et la tragédie grecque flirtent allègrement ; en résulte une pièce étonnante et vigoureuse, qui pose en des termes extrêmement modernes et presque provocateurs la question de la condition humaine, -où la mort, omniprésente et inéluctable, côtoie son indissociable partenaire, la vie.

La règle primordiale qu’Ophélie KERN s’est fixée dans cette première mise en scène, c’est de donner à entendre et à voir ce texte, qui témoigne très finement d’une conception juive, et plus particulièrement ashkénaze, du ridicule de notre condition. Parce que l’œuvre de Hanokh Levin, connue en France depuis peu, mérite sa place dans la dynastie de nos grands chef-d’œuvres.

Dans la bible, Dieu éprouve Job en lui retirant tout ce qu’il possède, avant de le réhabiliter. Mais ici-bas, sur scène, Dieu est désespérément absent. Job n’est plus qu’un pantin livré à la règle du jeu cruelle et arbitraire d’une troupe de comédiens désœuvrés, qui vont mettre en scène son exécution. Parce que le théâtre ne vit que de ces mises à mort, sans cesse renouvelées.

L’équipe
Mise en scène : Ophélie KERN, élève à l’ENS-LSH
Assistante à la mise en scène : Nadia ACEVEDO, étudiante en théâtre à l’Acting Studio.
Scénographie : Blandine VIEILLOT et Suzanne SEBO, issues d’une formation théâtrale à l’ENSATT (Ecole Nationale Supérieure des Arts et Techniques du Théâtre)
Costumes : Camille MOACHON,
Direction technique : Pierre HOEZELLE, ancien élève de l’ENSATT en cursus « direction technique », assisté d’Audrey FAULOT, élève à l’ENS
Musique : Yvonne DUONG, Thomas GARREAU, élèves à l’ENS

Il est prudent de réserver auprès de Marie au 01 42 02 17 08

Judéopostale

CONFERENCE-PROJECTION
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Judéopostale

timbres, lettres, courrier

Claude WAINSTAIN, médecin de profession et passionné de philatélie raconte dans l’ouvrage qu’il vient de publier, l’histoire de personnages juifs à travers les timbres.

Cet ouvrage ne traite pas simplement des vignettes mises sur les enveloppes pour acquitter la taxe postale, mais aussi des lettres et de leur contenu.

On découvre ainsi mille et une histoires touchantes et des personnages attachants.

Il viendra faire partager sa passion en commentant son livre d’une originalité exemplaire et l’illustrera sous forme de projection.

Rencontre animée par Henri SZTANKE

P.a.f.

L’Iran, l’arme nucléaire

RENCONTRE DÉBAT

L’Iran, l’arme nucléaire:

Faut-il s’attendre au pire, en dépit d’un rapport inattendu
des Services secrets américains qui se veut rassurant?

Une table ronde réunira avec :

Jacques TARNERO
Auteur de Décryptage et de Autopsie d’un mensonge,

Les auteurs de trois ouvrages récents sur la crise iranienne

François HEISBOURG
Conseiller spécial à la Fondation pour la Recherche Stratégique
Iran, le choix des armes? (Ed. Stock. 2007)

Michel TAUBMANN
Rédacteur en chef de la revue Le meilleur des mondes, auteur de
La bombe et le Coran : une biographie du Président iranien Mahmoud Ahmadabad.
(Ed. du Moment. 2008)

Bruno TERTRAIS
Maître de Recherche à la Fondation pour la Recherche Stratégique
Iran : La prochaine guerre (Ed. Le Cherche midi. 2007)

« la crise iranienne est l’enjeu géopolitique central de notre temps. Elle conjugue tous les grands problèmes contemporains : l’islamisme radical, le terrorisme, les guerres d’Irak et d’Afghanistan, le conflit israélo-palestinien, la prolifération nucléaire, la dépendance des pays occidentaux en hydrocarbures… »

Débat animé par Jacques DUGOWSON
La cafétéria vous accueille de 19h à 20h.

La Bibliothèque du Centre MEDEM est ouverte à partir de 19h.

P.a.f.

L’appel de Yehoshua




LM 2 21 03 08 L’appel de Yehoshua, par Franck Nouchi

En l'espace d'une semaine, un vent de liberté a soufflé sur Paris. D'interviews en débats, une quarantaine d'écrivains israéliens ont dessiné les voies de la paix au Proche-Orient, faisant apparaître les tenants du boycott du Salon du livre pour ce qu'ils sont : des partisans de la politique du pire.

Qu'a-t-on en effet entendu durant ces quelques jours sinon des critiques, parfois très dures, de la politique israélienne et d'incessants appels pour une paix juste et durable au Proche-Orient? David Grossman, Amos Oz, Aharon Appelfeld et tant d'autres, la plupart étaient venus, d'abord et avant tout, dire leur souhait de voir le gouvernement d'Ehoud Olmert cesser ses atermoiements et s'engager au plus vite dans un véritable processus de paix avec les Palestiniens.

Invité de Nicolas Demorand, sur France-Inter, Avraham B. Yehoshua profita de la tribune qui lui était offerte pour lancer un appel solennel aux Européens afin qu'ils prennent leurs responsabilités en supervisant les négociations de paix. Vous êtes notre seul espoir, insista l'auteur d'Un feu amical (Calmann-Lévy). L'action des Etats-Unis vise essentiellement à venir en aide à Israël, vous seuls pouvez aujourd'hui mettre Israéliens et Palestiniens autour d'une table et garantir la coexistence des deux Etats sur la base des frontières de 1967. Yehoshua alla même encore plus loin, expliquant que les Européens devraient sûrement, pour y parvenir, déployer des forces armées de part et d'autre des frontières israélo-palestiniennes. Le temps qu'il faudra pour que la paix s'installe enfin.

Il y avait un sentiment d'urgence dans la voix de Yehoshua. D'urgence et de lassitude. Comme s'il n'était pas certain que ce tragique face-à-face puisse durer encore très longtemps. Parmi les textes de David Grossman, publiés dans un recueil intitulé Dans la peau de Gisela (Seuil), figure le discours qu'il avait prononcé le 4 novembre 2006 à Tel-Aviv à la mémoire d'Yitzhak Rabin. "Rabin a décidé d'intervenir, avait déclaré Grossman, car il avait eu l'intelligence de comprendre avant tout le monde que cet état de conflit permanent ne pouvait se prolonger ad vitam aeternam. Que vivre dans ce climat de violence perpétuelle, d'occupation, de terreur, d'angoisse et de désespérance, était au-dessus des forces de la société israélienne."  Et il ajoutait : "Cessez d'inventer des prétextes pour ne pas parler aux Palestiniens, monsieur Olmert, (…) dépêchez-vous de combler le vide, si vous ne voulez pas vous retrouver confronté à la violence et à la destruction."  Urgence donc, avant qu'il ne soit trop tard. Urgence de trouver un médiateur qui soit un catalyseur de paix. Belle mission pour l'Europe et la France lorsqu'elle prendra, à partir de juillet, la présidence de l'Union. Avec, comme feuille de route, cette phrase de Pierre Mendès France, citée par Jean Daniel dans la préface de son recueil de chroniques Israël, les Arabes, la Palestine (Galaade éditions) : "Ce que je demande est très simple, je souhaite de toutes mes forces convaincre les Israéliens que les Palestiniens ont le droit de réclamer pour eux ce qu'Israël a obtenu pour lui."  A Paris, la semaine dernière, les écrivains israéliens invités par le Salon du livre en étaient à l'évidence convaincus.

 

Michèle TAUBER

SPECTACLE

Fête de Pourim au Centre MEDEM

animée par
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Michèle TAUBER

Accompagnée au piano par

Laurent GRYNSZPAN

Pourim est une fête joyeuse.

Fêtons-la ensemble joyeusement.

Ambiance garantie avec Michèle Tauber et Laurent Grynszpan.
Dégustation de Houmen-tachn (oreilles d’Aman),
les délicieuses pâtisseries de Pourim .

Il est prudent de réserver auprès de Marie au 01 42 02 17 08
P.a.f.

150308. CONVOI N° 6-PITHIVIERS –AUSCHWITZ

TEMOIGNAGES

PITHIVIERS –AUSCHWITZ

17 juillet 1942. 6h15
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Le titre et la date font référence réfèrent au convoi 6 qui emporta 928 juifs internés dans le camp de Pithiviers vers les camps d’extermination d’Auschwitz.
Seules 80 personnes en reviendront.

Monique NOVODORSQUI-DENIAU, psychanalyste, dont la famille d’origine polonaise résidait à Montargis, a une histoire personnelle profondément liée à celle de ces camps. Elle retrace dans cet ouvrage une partie de l’histoire de 101 de ces déportés à travers le témoignage de proches, le récit de quelques rescapés ou des pièces d’archives. (Préface de Simone WEIL)

Rencontre avec Monique NOVODORSQUI-DENIAU, animée par Katy HAZAN.

P.a.f.

Boycotter Israël ou l’écouter ?




LM 14 03 08 Boycotter Israël ou l’écouter

Je ne pense pas qu'un Etat qui maintient une occupation, commettant quotidiennement des crimes contre des civils, mérite d'être invité à quelque semaine culturelle que ce soit." Celui qui écrit ces lignes n'est ni l'Algérien Sansal ni le Libanais Maalouf, encore moins l'auteur de cette tribune, mais un Israélien, un juif israélien, grand poète devant l'Eternel : Aharon Shabtaï.

Ce boycottage, plus éloquent et plus intrépide que celui décrété du fond de leurs palais ou du haut de leurs chaires par nos prescripteurs arabes, est soutenu par des citoyens d'Israël, et non des moindres, à l'exemple de Benny Ziffer, le rédacteur en chef du supplément littéraire de Haaretz... Lesdits prescripteurs, quant à eux, nous assurent que leur appel au boycottage est dicté par la seule volonté de signifier à la France que la présence d'Israël au Salon du livre de Paris, comme à la Fiera del libro de Turin, est l'expression d'un déni, pire : de la commémoration d'un déni, celui de l'injustice faite depuis soixante ans au peuple palestinien.

Pour ne remonter qu'aux dernières décennies, qui a osé traiter les responsables israéliens de "clique sans morale de hors-la-loi corrompus, sourds à la fois à leurs concitoyens et à leurs ennemis" ? Et qui a dit : "Il ne s'agit plus de libérer les territoires occupés, mais de libérer Israël des territoires occupés" ? Ce ne sont ni des historiens arabes ni des antisionistes notoires, mais bel et bien des intellectuels israéliens : feu Yechayahou Leibovitz et Avraham Burg, ancien président de la Knesset ! Ce sont, entre autres, des hommes de cette trempe que certains ont l'outrecuidance de nous interdire de rencontrer, de découvrir ou simplement d'approcher !

Qui a osé déclarer à la face d'Israël : "Le prix de l'occupation est la corruption de la société israélienne tout entière" (...) ? Pas une quelconque organisation antisioniste, mais le mouvement des réservistes israéliens, dans son manifeste du 25 janvier 2002... Et c'est avec les camarades de ces hommes et de ces femmes que le 28e Salon du livre nous donne l'occasion inespérée d'entamer dialogues et débats, débats qu'un boycottage irresponsable vise à diaboliser. Au nom ou au service de quelle cause ? Celle des Palestiniens ? Fourberie et mascarade que tout cela !

Oui, la mise à l'honneur d'Israël, dont on connaît le refus d'appliquer les résolutions de l'ONU (une soixantaine, soit une résolution en moyenne par année d'occupation !), oui, l'inauguration du Salon du livre de Paris par le président français et son homologue israélien, tout cela s'apparente, pour reprendre les mots de Aharon Shabtaï, à "une célébration d'Israël, sans la moindre considération pour le calvaire de près de quatre millions de Palestiniens, qui vivent dans une situation similaire à celle des Noirs (du temps) de l'apartheid..."

Mais que faire ? Que faire d'autre, pour ne pas souscrire bêtement à un boycottage qui, lui, s'apparente plutôt à une démission ? Que faire, pour dépasser cette impuissance et cet agacement, qui, chez nombre d'intellectuels arabes de France, frisent le désespoir : impuissance devant le mystère Israël, sa mise "à part des nations" ; agacement face à ce chantage à l'antisémitisme pratiqué sciemment par nombre d'intellectuels juifs de France, écrivains, philosophes, cinéastes, universitaires... dont le soutien inconditionnel à Israël constitue un autre mystère, quand on sait qu'en Israël même, leurs pairs font preuve de plus d'indépendance, de courage et d'esprit critique... Il est vrai que les Israéliens de l'intérieur, eux, n'ayant pas de culpabilité à entretenir, celle du choix de la diaspora, se sont affranchis depuis longtemps de l'obligation de réserve dictée par cette édifiante sentence talmudique selon laquelle "Israël, même s'il a péché, reste Israël" !...

Que faire, donc ? Pour ma part, j'appelle vivement mes "frères" arabes à écouter Israël, car il y a un Israël audible. Comme il y a un sionisme "recevable", un sionisme nouveau, né en catimini, celui qui fit qu'en 2003 des jeunes juifs de France osèrent se définir comme "sionistes et propalestiniens", celui qui promet de rétablir ou de confirmer les deux peuples dans leurs droits respectifs, et serait le corollaire d'un nouveau messianisme, "laïcisé".

Ce sionisme-là se trouve incarné aujourd'hui par des héritiers du professeur Leibovitz, tels l'historien refuznik Benny Morris, les écrivains Avraham Burg et David Grossman. Or, ce sont les mêmes David Grossman et Avraham Burg qui, avec tant d'autres encore, seront du 14 au 19 mars à la porte de Versailles.

Faisons donc fi de ce machiavélisme flagrant qui, sous couvert d'une manifestation culturelle, veut commémorer six décennies d'une occupation inique, et allons à la rencontre de ces écrivains qui, en Israël même, constituent de vrais remparts à la politique coloniale d'Israël, et à son effarante impunité ; les seuls à reconnaître le poids des mots d'Elias Sanbar : "Vous occupez nos territoires le jour ; nous occupons vos têtes la nuit."

 

Le Salon en otage

Avant même d’ouvrir ses portes, jeudi 13 mars, le Salon du livre de Paris a été pris en otage. C’était prévisible : Israël en est, cette année, l’invité d’honneur, et cela suffit, plus que jamais, à déclencher les soupçons, les passions et les interdits, pour ne pas dire les fatwas.

Plusieurs pays arabes, qui sont pourtant tout sauf des champions de la liberté de penser et d’écrire, l’Organisation de la conférence islamique, pour qui l’existence même d’Israël est un sacrilège, mais aussi des éditeurs et écrivains de langue arabe, mais encore quelques écrivains israéliens et jusqu’à l’une des plumes les plus prestigieuses du supplément littéraire du quotidien israélien Haaretz, Benny Ziffer : de tous côtés, des voix se sont élevées pour appeler au boycottage de cette manifestation.

C’était inévitable, donc. On aura beau dire que c’est la littérature et les écrivains d’un pays et non ce pays lui-même qui sont traditionnellement les hôtes privilégiés du Salon, la distinction est trop ténue pour éviter les amalgames : en 2002, par exemple, alors que l’Italie était invitée, des incidents avaient éclaté lors de la visite de deux ministres du gouvernement Berlusconi.

En outre, la concordance de cette invitation avec le soixantième anniversaire de la création de l’Etat d’Israël – soulignée par la visite d’État en France du président israélien Shimon Pérès, qui devait inaugurer le Salon jeudi soir – ne pouvait que cristalliser un peu plus la colère des protestataires. Mais ceux-ci ne se seraient certainement pas montrés plus conciliants si ce Salon avait eu lieu une autre année. Enfin, le fait que tous les auteurs officiellement invités écrivent en hébreu aiguise un peu plus les tensions, puisqu’elle exclut les communautés israéliennes d’expression russe ou arabe.

Pour autant, cette prise en otage de la littérature par la politique est absurde et choquante. Quoi qu’il exprime du réel, le livre est d’abord l’expression d’une singularité individuelle. Aussi enraciné soit-il dans l’Histoire, l’écrivain est d’abord héraut de liberté, de rencontre et de partage. Boycotter les livres, voire récuser une langue, a toujours été l’arme des dictatures.

Et il est d’autant plus paradoxal – mais absolument logique pour les adversaires irréductibles d’Israël – de récuser ce Salon que la plupart des écrivains israéliens qui y participent sont parmi les avocats les plus forts de la cause d’un Etat palestinien viable et indépendant, à côté de l’État d’Israël. Cela ne les empêche pas d’être viscéralement attachés à leur pays et à leur langue. Mais tout autant à la paix. C’est cette paix, dans les livres comme sur le terrain, qui paraît malheureusement, plus que jamais, menacée par les partisans de la politique du pire.

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