Dans son introduction il déclare : »Je suis heureux de présenter la deuxième édition revue et corrigée de ce livre avec une préface inédite de mon collègue et ami Robert Samacher. Il porte sur le champ de la psychanalyse, entre le rhétorique et le narratif.Le point de départ vient d’une interrogation sur la place du récit clinique chez nous psychanalystes. Ne s’y joue-t-il pas un rapport inédit à l’événementiel au cours d’une élaboration théorique ? … »

Catégorie : Anciens Articles Archivés
Mes plus belles années »l’im avoudim »de Reshev LeviIsraël, début des années 80…
Cette comédie dramatique a été le succès de l’été 2008 en Israël avec plus de 200 000 entrées et 14 nominations aux Israeli Film Academy Awards.

Festival des cultures juives.

Cyrille FLEISHMAN raconte avec bonheur la vie d’un territoire. Une contrée extraordinaire entre la rue du Pas de la Mule, la rue de Turenne et la rue du Roi de Sicile.

Balade : Sur les traces de l’immigration juive populaire à Paris
Le Centre Medem Arbeter-Ring propose une promenade-découverte dans le Marais sur les traces du monde
ouvrier juif de la première moitié du XXème siècle.
On y évoquera à la fois la vie, les métiers et les engagements politiques des immigrés venus de l’Est, pour la plupart, les persécutions et les faits de résistance et l’esprit si particulier de la yiddishkayt, l’esprit yiddish, qu’ils emportèrent dans leurs baluchons.

Trio Hélène ENGEL

Citoyenne du monde, Hélène ANGEL
suit sa route sur les traces du folklore
international :
les traditions alsacienne,
berrichonne, bretonne, puis celles des folklores russe, américain,
espagnol, anglais, …
persan et même swahili.
Sans oublier, le folklore juif où se mêlent le judéo-espagnol, le yiddish et
l’hébreu.
Dénichant de
nouvelles chansons
et leur histoire dans les
bibliothèques de
nombreux pays, elle
exprime joie de vivre,
humour, espièglerie,
sensibilité, chaleur sur les accents multiples de
mélodies singulières
et pourtant universelles.
Autour de la Famille Karnovski avec Rachel ERTEL
La famille Karnovski d’Israël Joshua SINGER, publié en 1943, a été traduit en français en 2008.
Dans la grande tradition du roman
familial le livre retrace le destin de trois générations d’une même famille juive quittant leur shtetl de
Pologne pour rejoindre la société juive assimilée de
Berlin, échappant ensuite aux persécutions
nazies en émigrant aux USA.

Ce livre magnifique développe les thèmes de
l’émancipation des traditions religieuses
et de la place des Juifs
dans leurs sociétés d’adoption.
Israël Joshua SINGER(1893-1944)
Ecrivain yiddish. Il a une dizaine de livres à son actif dont Les Frères Ashkenazi. C’est le frère ainé et le mentor d’Isaac Bashevis Singer et d’Esther Kreitman.
Né d’un père rabbin hassidique et d’une mère fille de rabbin, il grandit à Varsovie mais s’émancipe de la tradition familiale et s’intéresse à la vie artistique prolifique en Pologne de cette époque.
À partir de 1916, Singer devient journaliste dans la presse yiddish européenne, en Ukraine pour le journal Di Nye Tsayt
(Les temps nouveaux), puis à Varsovie au Literarishe Bletter. Il participe ensuite à la revue Khaliastra.
En1921, il devient correspondant pour le journal américain The Forward. En 1934 il quitte la Pologne et s’installe à New York. Il y meurt en 1944.

Professeur émérite des Universités, Rachel ERTEL a
enseigné la littérature américaine et la littérature et culture yiddish. Elle a dirigé le CEJA (Centre d’Etudes
Judéo-Américaines ),
formant des enseignants, une équipe de traducteurs du yiddish et des chercheurs.
Traductrice du yiddish et de l’anglais, elle a une trentaine de traductions à son actif.

Elle a publié, entre autres : Le Roman juif américain – une écriture minoritaire (Payot, 1980),
Le Shtetl, la bourgade juive de Pologne, de la tradition à la modernité (Payot, 1982),
Dans la langue de personne : poésie yiddish de l’anéantissement (Le Seuil, 1993),
Brasiers de mots (Liana Levi, 2003).
Rencontre animée par Vita SZTULMAN
Autour de « Chanson pour la fille du Boucher »de Peter MANSEAU

Peter Manseau relate l’autobiographie
fictive d’Itsik Malpesh, né à Kishinev, se prétendant le plus grand poète yiddish américain vivant.
Celle-ci est accompagnée des notes et commentaires du traducteur, jeune d’origine irlandaise se destinant à la prêtrise et ayant appris le yiddish par amour !
L’histoire du poète se confond avec celle du XXe siècle : pogroms, révolutions, exil à Odessa. S’y mêle l’amour que porte Itsik à la célèbre et valeureuse Sasha Bimko…
La critique est unanime :
« exploration fascinante de la relation entre langage et identité » ;
« réflexion profonde sur la dissolution des racines » ;
« livre incroyable qui vous happe dès les premières pages » ;
« Peter Manseau a immigré dans une autre langue » ;
« épopée du XXe siècle » ;
« tragi-comédie époustouflante »…
En présence du traducteur
Antoine CAZE
Présentation
Ida PAPIERNIK
Rencontre avec Alain GUILLEMOLESSur les traces du YIDDISLAND
Le Yiddishland fut ce continent sans vraies frontières qui réunissait les communautés juives parlant yiddish.
À la veille de la Seconde Guerre mondiale, on dénombrait onze millions de personnes parlant yiddish, essentiellement en Pologne, Ukraine, Roumanie et Russie de l’Est.

Ce fut la langue d’un peuple sans État et de toute une civilisation, brutalement disparue. Deux millions de personnes la parlent encore dans le monde, dont près de 40 000 en France.
« Ce livre est une tentative de cheminer sur des routes à demi-effacées. Il est une collection de fragments, d’impressions, de traces arrachées au néant. »
doc572
L’auteur a enquêté à travers la Lituanie, la Pologne, l’Ukraine ou la France.
Le texte est illustré par une centaine d’images : cimetières abandonnés, synagogues transformées en salles de boxe, mais aussi bâtiments parfaitement conservés, musées et autres lieux de mémoire. On rencontre aussi des gens comme Tomasz qui a obtenu qu’un réverbère reste toujours allumé à l’entrée de l’ancien quartier juif de sa ville de Pologne.
Présentation : Salomon BIELASIAK
Chaque année, M. Rémi Féraud, maire du Xème arrondissement, accueille le Centre Medem et le Clej pour honorer la mémoire des combattants du ghetto de Varsovie et de toutes les victimes du nazisme.

