Le Printemps des Séniors

Le Pôle Séniors du F.S.J.U organise jeudi 22 mai 2025 à partir de 9h15 une journée consacrée au bien vieillir

à l’Espace Rachi – Guy de Rothschild 39 rue Broca 75005 Paris.

PRINTEMPS DES SENIORS R
Cette journée se déroulera en deux temps : une matinée plénière et un après-midi d’ateliers dédiés aux seniors.

Interviews, témoignages, tables rondes, conférences sont au programme.

La participation aux frais de 10 € inclut le déjeuner- buffet.

Pour vous inscrire, cliquez ICI  ou par téléphone au 06 80 50 69 88.

Programme détaillé

PRINTEMPS DES SENIORS

Alfred Dreyfus. Vérité et justice

Exposition du 13 mars au 31 août 2025 au mahJ

Près de vingt ans après sa première exposition consacrée à Alfred Dreyfus, le mahJ revient sur « l’Affaire » pour rappeler les grandes étapes de ce moment crucial de l’histoire de France, dont une des nombreuses conséquences fut la loi de séparation des Églises et de l’État. L’exposition révèle le combat acharné de Dreyfus pour faire éclater la vérité, corrigeant l’image d’un homme spectateur de la machination qui le conduisit à passer plus de quatre années à l’île du Diable et encore sept à lutter pour sa réhabilitation.

Cette exposition, qui a reçu le soutien exceptionnel du musée d’Orsay, s’appuie sur le riche fonds Dreyfus du mahJ, sur des prêts d’institutions – Archives nationales, Bibliothèque nationale de France, musées de l’Armée, du Barreau de Paris, Carnavalet, de l’École de Nancy, Maison Zola-Musée Dreyfus à Medan – ainsi que de collections particulières.

Commissariat : Isabelle Cahn, conservatrice générale honoraire des peintures au musée d’Orsay et Philippe Oriol, directeur scientifique de la Maison Emile Zola-Musée Dreyfus

Réservation sur le site

Bande annonce

La disparition de Josef Mengele

Au théâtre La Pépinière

jusqu’au 27 avril

MENGELE

Adapté et interprété par Mikael Chirinian dans une mise en scène de Benoit Giros, d’après le texte d’Olivier Guez.

En 1949, Josef Mengele débarque à Buenos Aires. Caché sous une fausse identité, l’ancien médecin tortionnaire d’Auschwitz croit pouvoir s’inventer une nouvelle vie.

L’Argentine de Juan et Evita Perón est bienveillante, le monde entier veut oublier les crimes nazis. C’est l’errance de Josef Mengele en Amérique du sud jusqu’à sa mort mystérieuse sur une plage du Brésil en 1979. Comment le médecin SS a-t-il pu passer entre les mailles du filet pendant trente ans et jouir d’une telle impunité ?

Une des plus grandes chasses à l’homme de la fin du XXème siècle.

Billetterie 

Par téléphone au 01 42 61 44 16 avec le code « OPÉRA 75 »

Exposition « L’art « dégénéré » : Le procès de l’art moderne sous le nazisme »

Au Musée national Picasso-Paris

du 18 février au 25 mai 2025

Première exposition en France consacrée à l’Art dit « dégénéré », elle explore et met en perspective l’attaque méthodique du régime nazi contre l’art moderne et la place qu’occupe Pablo Picasso, archétype de l’artiste dans cette histoire.

« L’art « dégénéré » : le procès de l’art moderne sous le nazisme. » étudie en particulier l’exposition de propagande « Entartete Kunst » (Art dégénéré), organisée en 1937 à Munich, montrant plus de 700 œuvres d’une centaine d’artistes, représentants des différents courants de l’art moderne, d’Otto Dix à Ernst Ludwig Kirchner, de Vassily Kandinsky à Emil Nolde, de Paul Klee à Max Beckmann, dans une mise en scène conçue pour provoquer le dégoût du visiteur.

Point culminant d’une série d’expositions infamantes mises en place dans plusieurs musées dès 1933 (Dresde, Mannheim, Karlsruhe…) pour dénoncer les avant-gardes artistiques comme une menace à la « pureté » allemande, « Entartete Kunst » s’inscrit dans le contexte d’une « purge » méthodique des collections allemandes. Plus de 20.000 œuvres, parmi lesquelles celles de Vincent Van Gogh, Marc Chagall ou de Pablo Picasso, désigné comme artiste « dégénéré » dès les années 1920 aussi bien en France, qu’en Allemagne, sont ainsi retirées, vendues ou détruites.Au centre de cette histoire, le terme de « dégénérescence», émergeant au cours du XIXe siècle dans différentes disciplines (histoire naturelle, médecine, anthropologie, histoire de l’art…) jusqu’à sa cristallisation au cœur de la « vision du monde » national-socialiste, sert de vecteur au déploiement des théories racistes et antisémites au sein de l’histoire de l’art.

Informations billeterie

Plein tarif : 16 euros

Tarif réduit : 12 euros

Tarif spécial famille : Tarif réduit pour 1 à 2 adultes accompagnant un enfant

“Midrash pour notre temps – Nature, technique politique” vient de paraître aux éditions Imago

Le Midrash, ensemble d’histoires issues de la tradition biblique juive, fait jouer entre eux les versets et, sans contrainte apparente, hors de toute signification figée et de tout jugement, suit un chemin buissonnier de réflexion et d’interprétation.

S’inscrivant dans cette perspective, à la lumière des allégories, des fables et des paraboles de la Bible, François Ardeven médite sur trois axes qui sont au cœur de nos préoccupations et de nos angoisses.

Tout d’abord la Nature, dont la fragilité, telle qu’elle s’est révélée sous les coups récents des hommes, nourrit l’anxiété écologique. Puis la Technique, divinité moderne dont les prouesses nous menacent de plus en plus – songeons au nouveau Golem que représente l’Intelligence artificielle. Enfin, la Politique qui aujourd’hui, plus que jamais, interroge les valeurs de nos démocraties.

S’appuyant également sur la philosophie, la littérature et la psychanalyse, François Ardeven nous invite à travers ses commentaires, aussi savants qu’impertinents, à porter un regard neuf sur le monde contemporain, et nous offre ainsi Un Midrash pour notre temps.

Ce livre qui comme le précédent fut d’abord un enseignement donné les dimanches matin pendant trois ans au Centre Medem à Paris et fidèlement retranscrit par Edith Apelbaum qui en a établi le texte pour que celui-ci soit relu, amendé, encore annoté et encore commenté par l’auteur, pour offrir aux lecteurs une pensée innovante et réjouissante.

Professeur de lettres classiques et psychanalyste, François Ardeven a étudié la philosophie et les mathématiques, il est docteur en psychopathologie clinique.

Il était l’invité les 17 et 24 mars de Marc-Alain Ouaknin dans l’émission “Talmudiques” à propos de son dernier livre Un Midrash pour notre temps – Nature, technique politique  (éditions Imago 2024).

Podcast à écouter    ▶︎ France Culture et Radio J

Le Collectif Pourim Shpil et le musée virtuel du Pourim shpil

Le Pourim shpil est un ensemble de manifestations festives, populaires, à caractère parodique, autour du Livre d’Esther et de la fête de Pourim.

Tradition carnavalesque juive multiséculaire, le Pourim shpil, littéralement Jeu de Pourim ou Jeu de sorts (די פּורים שפּילdi Purim shpil) en yiddish, illustre de façon humoristique, avec des clins d’œil à l’actualité, l’histoire d’Esther racontée dans la Bible. Le théâtre, le cinéma, la comédie musicale, le mime, la poésie, la musique, le masque, le carnaval, toute la culture juive y trouve sa place.

Le « Collectif Pourim Shpil », juridiquement constitué en Association loi 1901, a pour objectif principal de faire inscrire cet élément culturel sur une des listes de sauvegarde du patrimoine culturel immatériel de l’Unesco, selon la convention établie par cet organisme en 2003 (Article 12).

Le projet est aujourd’hui porté par neuf associations, l’Association des Amis de la Commission Centrale de l’Enfance (AACCE), le Centre Medem-Arbeter Ring, le Cercle Bernard Lazare, le Farband/Union des Sociétés Juives de France, la Maison de la culture yiddish, Yiddish pour Tous, Aki EstamosAl Syete, l’Union des Juifs pour la Résistance et l’Entraide (U.J.R.E.).

La première étape administrative, qui consistait à inscrire le Pourim Shpil à l’inventaire du Patrimoine Culturel Immatériel en France tenu par la Direction du patrimoine du ministère de la Culture, a été franchie « car chaque État – partie doit prendre les mesures nécessaires pour assurer la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel présent sur son territoire. »

Depuis le 4 janvier 2016, la fiche d’inventaire du Pourim Shpil est disponible sur le site du Ministère. C’est la 38ème pratique festive dans la liste du patrimoine en France, aux côtés des Fêtes de l’ours dans les Pyrénées orientales, des nombreux Carnavals de géants du Nord et du Fest-Noz de Bretagne.

Les prochaines étapes : aider d’autres pays à entreprendre la même démarche afin d’accélérer une candidature commune à l’Unesco ; continuer à collecter, inventorier, traduire, diffuser tous documents relatifs au Pourim Shpil.

Une ambition : la création d’un Théâtre Juif National et d’un Centre de recherche.

Visitez le musée virtuel

Voir le catalogue de l’exposition “De Babylone à New York – Métamorphoses du Pourim shpil

Le dispositif Part’Âge du FSJU

Le lien social au cœur de l’action du FSJU

Part’Âge : c’est un dispositif de lien social qui propose des visites à domicile et des appels réguliers de bénévoles formés, pour des seniors se sentant seuls ou isolés.

L’objectif de Part’Âge est, plus largement, d’accompagner les associations concernées (hors champ médicosocial) dans une réflexion sur les stratégies à adopter pour mieux couvrir les attentes des seniors plus isolés.

Les actions, par des bénévoles formés :

  • Brin de Causette – Appels de convivialité
  • Brin de Compagnie – Visites de convivialité
  • Rester en lien avec les ainés par le biais d’une écoute active et des appels réguliers
  • Prévenir le sentiment de solitude et l’isolement
  • Assurer une veille sociale 
  • Chaque inscrit est contacté par un bénévole « attitré ». Ces appels permettent de construire une relation sécurisante et de qualité.
  • Apporter une aide administrative ponctuelle 
  •  Lutter contre la fracture numérique: aide à l’utilisation d’un téléphone, ordinateur ou tablette

Pour activer Part’Âge

Adresser une demande via le formulaire de demande de lien social sur Salesforce :

D’une enfance russe au socialisme yiddish :
Vladimir Medem, « légende du mouvement ouvrier juif »

Cette année marque le centenaire de la mort de Vladimir Medem (1879-1923),

grand théoricien du Bund et de la question nationale juive dans l’Empire russe,

théorisée dans le cadre des débats de l’internationalisme socialiste.

Vladimir Medem s’est distingué par ses écrits et ses activités politiques mais aussi par la singularité de son parcours personnel, sur lequel revient Constance Pâris de Bollardière, l’auteure de la préface de la récente réédition de l’ouvrage d’Henri Minczeles Histoire générale du Bund (éditions L’échappée).

Les mémoires de Medem, publiées à New York en 1923, servent de trame à cette évocation. (à lire aussi une notice dans les livres de mars de la bibliothèque du Centre Medem : https://www.centre-medem.org/livres-de-mars-avril-2023/)

Cliquez ICI pour accéder à la suite de l’article publié le 15 février par Constance Pâris de Bollardière dans la revue K numéro 100.

Musée de la résistance 1940 – 1945. Juifs, résistants et combattants

En septembre 1939, le gouvernement Daladier interdit, du fait du pacte germano-soviétique, le Parti communiste ainsi que les associations et organes qui lui sont affiliés parmi lesquelles la section juive de la main d’œuvre immigrée (MOI). Lorsque commence l’Occupation en juin 1940, ses militants ont déjà acquis une certaine expérience en matière de clandestinité, notamment au sein des organisations de jeunes ou des sections de la Main d’œuvre immigrée (MOI). A partir de l’été 1940, de nouvelles structures sont créées, telles que l’organisation Solidarité, destinées non seulement à venir en aide aux militants et à leurs familles mais également à permettre un maintien de leurs activités illégales. Entre 1940 et 1942, plusieurs associations et mouvements juifs développent des actions clandestines ou semi-clandestines ….. lire la suite : ICI

Le kiosque solidaire du FSJU

Né d’une réflexion autour du risque bien connu d’abus sur personnes fragiles et des appréhensions du public de survivants à faire entrer des personnes inconnues à leur domicile, le Kiosque solidaire entend répondre à des demandes à première vue triviales :  fixer des étagères, trouver un plombier honnête, remplacer une serrure, être accompagné pour un déplacement.

Le Kiosque solidaire propose ainsi des réponses souples, rapides, dans un cadre sécurisant et en complémentarité avec des dispositifs de droit commun et les équipes du champ social et de maintien à domicile.

Ce programme était accessible lors de la phase pilote au seul public de Passerelles. Après avoir vérifié la pertinence du Kiosque solidaire, nous avons décidé en partenariat avec la Direction de l’Action Sociale du FSJU d’élargir la cible des bénéficiaires et de rendre accessible ce nouveau service à l’ensemble des séniors. L’accompagnement des demandes sera assuré par toute structure sociale pour leurs bénéficiaires respectifs.

Alix Soussan est Responsable du dispositif du Kiosque Solidaire.

Vidéo de présentation

Pour toutes questions :

N’hésitez pas à contacter le Kiosque solidaire du lundi au jeudi de 9h à 17h30 et le vendredi de 9h à 16h30

soit par téléphone au 01 42 17 10 80 ou 06 07 03 00 72 ou par mail à l’adresse contact@kiosquesolidaire.org

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